L’exécution du colonel Mohamed Chabani, le 3 septembre 1964 au matin, en application de la peine capitale prononcée la veille à son encontre, reste inéluctablement l’une des mauvaises pages de l’histoire contemporaine de l’Algérie. Des historiens s’y sont intéressés mais aucune des versions des faits qu’ils ont eu à transcrire n’a produit autant d’effet médiatique que le témoignage, en 2008, du président Chadli Bendjedid. Le propos de Chadli fait encore débat aujourd’hui.

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