Le directeur général de la compagnie, a affirmé qu’aucune explication n’a été fournie par la direction de l’aviation civile algérienne (DGAC), une instance qui relève du ministère des Transports. Selon le même responsable d’Aigle Azur, cette situation est générée par le seul agissement « inexpliqué et surprenant » de la DGAC. Les autorités françaises peinent jusqu’ici à remédier à cette situation