Le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, Boualamallah Ghoullamallah a expliqué, hier, en marge de la session de clôture de la session de printemps de l’APN, que le renvoi en question relève d’un problème bureaucratique. Selon d’autres sources au fait du dossier, les 40 imams n’ont pas été admis à poursuivre une formation à Al-Azhar en raison de leurs inaptitudes à suivre le cursus dispensé par l’université religieuse. Alors que 40 imams sont retournés au pays, non retenus pour la formation à Al-Azhar, 100 autres préparent leurs valises pour la France et la Grande- Bretagne afin de présider aux prières des taraouih pendant le Ramadan.