"Certains présidents se soignent en France des semaines et des semaines sans que personne n'en parle", a fait remarquer le Premier ministre qui a appelé à "mettre un terme à cela".

M. Sellal intervenait à l'ouverture des travaux du colloque sur la communication institutionnelle.

Il s'est dit désolé que l'Algérie soit arrivée à un stade ou "même l'information officielle est démentie" avant d'ajouter "qu'il était impératif pour nous d'annoncer ce qui est de notre devoir d'annoncer" et d'affirmer "nous n'avons rien à cacher".